1 juillet 2010
Pause intra-muros
Ne dirait-on pas ?
Qu'à laisser quelques doigts affranchis moustiquer clavier et crécelle à mon ir-raison.
S"enfante l'humeur qui presse. Se découvre les couleurs des flots par dessus les digues.
Décomposés mots d'avant. Un loup s'est fait bouffer par les moutons.
Encore un peu là le pédant. Pas tout à fait revenu des aller-retours.
Des chutes et rechutes.
Et demain ?
Je trébuche.
Aujourd'hui je les regarde. Ça court. Sautille.
Ça sent moi. Même couleur mais plus que nuances.
Patine. Aspect d'usages répétés. Stigmates de mâchonnages assidus.
Quoi qu'il en soit, bien décidé à peinturlurer de mes vociférant néants cet autre vide.
Car il faut bien qu'au moins je signe.
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